Diadieuf ! Djapp rek té bagna bayi ! Dina bakh InshaAllah
Répondre à François Ba
Sénégalil y a 22 heures
Sans Macky Sall, les orientations de sécurité familiale demeurent.
Les initiatives portées par Sonko, comme Vision 2050 ou le plan de redressement, sont abandonnées.
Diomaye préfère remettre en avant le Plan Sénégal Émergent, estimant que Sonko pourrait nuire à la stabilité d’un mandat essentiel pour son avenir politique.
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Sénégalil y a 22 heures
Sans Macky Sall, les orientations de sécurité familiale demeurent.
Les initiatives portées par Sonko, comme Vision 2050 ou le plan de redressement, sont abandonnées.
Diomaye préfère remettre en avant le Plan Sénégal Émergent, estimant que Sonko pourrait nuire à la stabilité d’un mandat essentiel pour son avenir politique.
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Sénégalil y a 22 heures
L’intervention d’Ousmane Sonko, s’adressant publiquement au président Bassirou Diomaye Faye et au président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló, dépasse les limites du protocole républicain. Ce n’est plus de la franchise, mais une démonstration d’autorité. Sonko veut rappeler qu’il reste le véritable centre du pouvoir, quitte à humilier le chef de l’État.
Pourtant, Diomaye Faye est la clé de voûte des institutions. C’est lui, et lui seul, qui détient le pouvoir de nomination aux postes civils et militaires. À ce titre, il ne peut pas rester spectateur pendant que son Premier ministre brouille les lignes et affaiblit son autorité.
Il doit agir et se séparer de ce Premier ministre devenu encombrant. Comme l’a si bien dit Sory Kaba, « Diomaye creuse pour trouver de l’eau, et Sonko enterre ce qu’il creuse ». Tant que cette dualité persiste, l’action gouvernementale restera stérile. Le Sénégal n’a pas besoin de deux capitaines : il a besoin d’un président qui décide.
Répondre à Sénégal
Sénégalil y a 22 heures
L’intervention d’Ousmane Sonko, s’adressant publiquement au président Bassirou Diomaye Faye et au président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló, dépasse les limites du protocole républicain. Ce n’est plus de la franchise, mais une démonstration d’autorité. Sonko veut rappeler qu’il reste le véritable centre du pouvoir, quitte à humilier le chef de l’État.
Pourtant, Diomaye Faye est la clé de voûte des institutions. C’est lui, et lui seul, qui détient le pouvoir de nomination aux postes civils et militaires. À ce titre, il ne peut pas rester spectateur pendant que son Premier ministre brouille les lignes et affaiblit son autorité.
Il doit agir et se séparer de ce Premier ministre devenu encombrant. Comme l’a si bien dit Sory Kaba, « Diomaye creuse pour trouver de l’eau, et Sonko enterre ce qu’il creuse ». Tant que cette dualité persiste, l’action gouvernementale restera stérile. Le Sénégal n’a pas besoin de deux capitaines : il a besoin d’un président qui décide.
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Sénégalil y a 22 heures
Le régime Pastef commet une erreur en poursuivant ses adversaires au nom de la « reddition des comptes ». Cette stratégie, perçue comme une justice sélective, renforce la popularité des figures visées : Farba Ngom, Mansour Faye, Moustapha Diop, ou encore le Rappel à l’ordre à Dakar. En voulant affaiblir ses opposants, le pouvoir les érige en victimes politiques — un pari risqué qui pourrait lui coûter cher aux prochaines élections.
Répondre à Sénégal
Huiil y a 22 heures
Tes enfants ne manges pas ça , faut pas nous faire revenir a l’âge de la pierre taillé. Guirassi
Répondre à Hui
Pays saleil y a 22 heures
Nettoyer le pays
Il est sale et anarchique
Il faut interdire lés charrettes et pousse pousse.
Le Sénégal est un vrai bordel
Répondre à Pays sale
Ras-le-bolil y a 20 heures
Sonko doit renoncer aux 9 milliards de fonds politiques (caisse noire).
Il ne peut se taper 750 millions par mois en plus de son salaire et ses privilèges et vouloir nous faire croire qu'il va redresser le pays.
Bizarre non !
Commentaires (9)
Diadieuf ! Djapp rek té bagna bayi ! Dina bakh InshaAllah
Sans Macky Sall, les orientations de sécurité familiale demeurent.
Les initiatives portées par Sonko, comme Vision 2050 ou le plan de redressement, sont abandonnées.
Diomaye préfère remettre en avant le Plan Sénégal Émergent, estimant que Sonko pourrait nuire à la stabilité d’un mandat essentiel pour son avenir politique.
Sans Macky Sall, les orientations de sécurité familiale demeurent.
Les initiatives portées par Sonko, comme Vision 2050 ou le plan de redressement, sont abandonnées.
Diomaye préfère remettre en avant le Plan Sénégal Émergent, estimant que Sonko pourrait nuire à la stabilité d’un mandat essentiel pour son avenir politique.
L’intervention d’Ousmane Sonko, s’adressant publiquement au président Bassirou Diomaye Faye et au président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló, dépasse les limites du protocole républicain. Ce n’est plus de la franchise, mais une démonstration d’autorité. Sonko veut rappeler qu’il reste le véritable centre du pouvoir, quitte à humilier le chef de l’État.
Pourtant, Diomaye Faye est la clé de voûte des institutions. C’est lui, et lui seul, qui détient le pouvoir de nomination aux postes civils et militaires. À ce titre, il ne peut pas rester spectateur pendant que son Premier ministre brouille les lignes et affaiblit son autorité.
Il doit agir et se séparer de ce Premier ministre devenu encombrant. Comme l’a si bien dit Sory Kaba, « Diomaye creuse pour trouver de l’eau, et Sonko enterre ce qu’il creuse ». Tant que cette dualité persiste, l’action gouvernementale restera stérile. Le Sénégal n’a pas besoin de deux capitaines : il a besoin d’un président qui décide.
L’intervention d’Ousmane Sonko, s’adressant publiquement au président Bassirou Diomaye Faye et au président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló, dépasse les limites du protocole républicain. Ce n’est plus de la franchise, mais une démonstration d’autorité. Sonko veut rappeler qu’il reste le véritable centre du pouvoir, quitte à humilier le chef de l’État.
Pourtant, Diomaye Faye est la clé de voûte des institutions. C’est lui, et lui seul, qui détient le pouvoir de nomination aux postes civils et militaires. À ce titre, il ne peut pas rester spectateur pendant que son Premier ministre brouille les lignes et affaiblit son autorité.
Il doit agir et se séparer de ce Premier ministre devenu encombrant. Comme l’a si bien dit Sory Kaba, « Diomaye creuse pour trouver de l’eau, et Sonko enterre ce qu’il creuse ». Tant que cette dualité persiste, l’action gouvernementale restera stérile. Le Sénégal n’a pas besoin de deux capitaines : il a besoin d’un président qui décide.
Le régime Pastef commet une erreur en poursuivant ses adversaires au nom de la « reddition des comptes ». Cette stratégie, perçue comme une justice sélective, renforce la popularité des figures visées : Farba Ngom, Mansour Faye, Moustapha Diop, ou encore le Rappel à l’ordre à Dakar. En voulant affaiblir ses opposants, le pouvoir les érige en victimes politiques — un pari risqué qui pourrait lui coûter cher aux prochaines élections.
Tes enfants ne manges pas ça , faut pas nous faire revenir a l’âge de la pierre taillé. Guirassi
Nettoyer le pays
Il est sale et anarchique
Il faut interdire lés charrettes et pousse pousse.
Le Sénégal est un vrai bordel
Sonko doit renoncer aux 9 milliards de fonds politiques (caisse noire).
Il ne peut se taper 750 millions par mois en plus de son salaire et ses privilèges et vouloir nous faire croire qu'il va redresser le pays.
Bizarre non !
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